La quête de joies simples !
Après plusieurs mois passés loin des nos chères "chroniques archivistiques", et quelques semaines de vacances bien méritées, me revoilà en grande forme - je l'espère ! - , prêt à vous entretenir à nouveau sur les petits détails qui rendent notre métier si attachant !
En attendant d'être soumis aux volontés de la pandémie grippale, j'en profite pour parler aujourd'hui d'un moment vécu il n'y a pas si longtemps, un de ces moments inattendus qui constitue l'une des joies de tout archiviste et qui fait que notre métier est si passionnant. Bon d'accord, on est peut-être les seuls à comprendre l'intérêt de tout ça, mais c'est déjà pas si mal d'être en accord avec soi-même...
Mais trop de suspense tue le suspense ! Venons-en au fait. Lancé en compagnie de ma collègue préférée (j'en ai qu'une d'un autre côté !) dans un travail plaisant, gratifiant et instructif, à savoir le tri de dizaines et de dizaines de dossiers de personnel parti à la retraite ou décédé depuis belle lurette, un fait inattendu est venu égayer ce dur labeur et apporter une touche de gaieté et quelques pincées de rires à cette travail archivistique.
Enfouis au milieu de tous ces dossiers identiques et sans grande saveur, quelques-uns firent remonter en nous des parfums d'enfance et dessinèrent un large sourire sur nos visages concentrés, de part le nom singulier des personnes concernées. En voici deux exemples parmi les plus réjouissants:
Certains d'entre vous doivent peut-être trouver ça bête et digne d'un enfant de 5 ans ! D'ailleurs, je partage un peu votre point de vue... Mais ça fait tellement de bien de profiter de petites joies toutes simples et de retomber 5 minutes en enfance, qu'on aurait eu bien tort de s'en priver !
Il faut bien rire que voulez-vous ! La moindre occasion est toujours bonne à prendre. Surtout qu'elles ne se représentent pas forcément tous les jours...